Massimo Bortolini, Il n’y a pas de toilettes en Bulgarie, éd. Lamiroy, coll. Opuscules.

Avec un titre pareil, le premier réflexe serait de penser à un livre drôle, voire comique ou encore absurde. Il n’en est rien.
L’auteur nous livre un récit puissant et poignant. Une belle histoire qui parle de famille, d’enfant et de l’enfance. Tout cela décliné en très peu de pages.

Auparavant, l’auteur nous avait habitué aux courts récits sous formes d’aphorismes, calembours et autres petites histoires. Le tout couronné de jeux de mots et autres moments drôles…(deux recueils d’aphorismes publiés au Cactus Inébranlable)

Ici, tout est différent, dès les première pages, on est plongé dans une histoire où l’on sent qu’un père est au petit soin pour son fils au comportement étrange… Le passé, les mystères et les questions d’héritage viennent agrémenter cette étonnante histoire. Riche en rebondissement, riche tout court.

Preuve, ici, dans cette incroyable histoire, que l’auteur d’aphorismes et de calembours est aussi un écrivain, un bon !

A découvrir…

Gaëtan Faucer